Venise, Italie

Le voyage en Italie de Victor Hugo

Victor Hugo’s journey to Italy

Reading French, Level B1

The English translation is below the French text.

You can also listen to the audio of the French version when reading the French version.

Français (French)

En 1846, Victor Hugo, un célèbre écrivain français, décide de partir en voyage en Italie avec sa famille. Il veut découvrir les beautés de ce pays, admirer ses monuments, ses paysages et sa culture. Il est aussi curieux de rencontrer les habitants et de connaître leur histoire.

Il part de Paris en train et traverse la France, la Suisse et le nord de l’Italie. Il s’arrête dans plusieurs villes, comme Lyon, Genève, Turin et Milan. Il visite les cathédrales, les musées, les palais et les jardins. Il est émerveillé par la richesse artistique et architecturale de ces lieux. Il écrit dans son journal : « L’Italie est un musée vivant, où chaque pierre raconte une page d’histoire. »

Ensuite, il continue son périple vers le sud et arrive à Venise, la ville des canaux et des gondoles. Il se promène sur la place Saint-Marc, où il voit la basilique, le campanile et le palais des Doges. Il monte dans une gondole et navigue sur le Grand Canal, où il admire les palais et les ponts. Il écrit dans son journal : « Venise est un rêve, où chaque flot murmure une poésie. »

Il quitte Venise et se dirige vers Florence, la ville de la Renaissance et des arts. Il visite le Duomo, le Baptistère, le Ponte Vecchio et la Galerie des Offices. Il contemple les chefs-d’œuvre de Michel-Ange, de Léonard de Vinci, de Botticelli et de Raphaël. Il écrit dans son journal : « Florence est un chef-d’œuvre, où chaque tableau révèle une beauté. »

Il poursuit alors son voyage vers Rome, la ville éternelle et des papes. Il visite le Colisée, le Forum, le Panthéon et la basilique Saint-Pierre. Il assiste à une audience du pape Pie IX, qui lui accorde sa bénédiction. Il écrit dans son journal : « Rome est une gloire, où chaque ruine témoigne d’une grandeur. »

Il termine son voyage à Naples, la ville du Vésuve et de la pizza. Il admire le volcan, qui fume au loin, et la baie, qui scintille au soleil. Il goûte la cuisine locale, à base de tomates, de fromage et de pâtes. Il écrit dans son journal : « Naples est une joie, où chaque sourire exprime une douceur. »

Il rentre en France après six mois d’un voyage inoubliable. Il a vu tant de merveilles qu’il ne peut pas toutes les raconter. Il décide alors d’écrire un livre sur son expérience italienne. Il l’intitule Les Travailleurs de la mer et le publie en 1866. C’est un succès littéraire qui fait connaître l’Italie à des milliers de lecteurs.

French audio

Anglais (English)

In 1846, Victor Hugo, a famous French writer, decided to go on a trip to Italy with his family. He wanted to discover the beauties of this country, admire its monuments, landscapes, and culture. He was also curious to meet the inhabitants and learn about their history.

He left Paris by train and crossed France, Switzerland, and northern Italy. He stopped in several cities, including Lyon, Geneva, Turin, and Milan. He visited cathedrals, museums, palaces, and gardens. He was amazed by the artistic and architectural richness of these places. He wrote in his journal: “Italy is a living museum, where every stone tells a page of history.”

Then, he continued his journey south and arrived in Venice, the city of canals and gondolas. He walked around St. Mark’s Square, where he saw the basilica, the bell tower, and the Doge’s Palace. He got on a gondola and sailed down the Grand Canal, where he admired the palaces and bridges. He wrote in his journal: “Venice is a dream, where every wave whispers a poem.”

He left Venice and headed for Florence, the city of the Renaissance and the arts. He visited the Duomo, the Baptistery, the Ponte Vecchio, and the Uffizi Gallery. He gazed at the masterpieces of Michelangelo, Leonardo da Vinci, Botticelli, and Raphael. He wrote in his journal: “Florence is a masterpiece, where every painting reveals a beauty.”

He continued his journey to Rome, the eternal city and the city of the popes. He visited the Colosseum, the Roman Forum, the Pantheon, and St. Peter’s Basilica. He attended an audience with Pope Pius IX, who gave him his blessing. He wrote in his journal: “Rome is a glory, where every ruin bears witness to greatness.”

He ended his journey in Naples, the city of Vesuvius and pizza. He admired the volcano, which smoked in the distance, and the bay, which sparkled in the sun. He tasted the local cuisine, based on tomatoes, cheese, and pasta. He wrote in his journal: “Naples is a joy, where every smile expresses a sweetness.” He returned to France after six months of an unforgettable trip. He had seen so many wonders that he could not tell them all. He then decided to write a book about his Italian experience. He called it “Les Travailleurs de la mer” (Toilers of the Sea) and published it in 1866. It was a literary success that introduced Italy to thousands of readers.

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